Ce tête-à-corps entre une jeune femme et un bœuf ouvre un espace de réflexion sur la victime de sacrifice. Systématiquement féminine, empêchée, mue par l’urgence de faire la nique à la mort obligatoire, cette figure-clé traverse toutes les civilisations (ou presque) et la littérature. Avec le même objectif : que tous les autres continuent à vivre sans angoisse.